Ne nous le cachons pas, le petit crachin de la veille a eu raison de mon organisme et j'ai passé le plus clair de mon temps à La Paz dans ma chambre d’hôtel, que l'on aurait pu appeler la quarantaine. Dans le lit au-dessus de moi, Bastien, encore plus malade. Et au fil des jours qui passent, d'autres malades vont et viennent. Certains ne supportent pas l'altitude et le choc d'atterrir à 4000m d'altitude sans acclimatation.
D'autres n'ont pas supporté la nourriture...
Moi la nourriture j'adore, plein de patates héritées de la tradition sud américaine. La Bolivie est un des pays les plus pauvres d'Amérique du Sud et la pomme de terre est ici un aliment de base, plus que partout ailleurs où j'ai pu aller. Et la Bolivie sera le seul pays où j'aurai trouvé du fromage de chèvre!
Quand je ne suis pas dans ma chambre d'hôtel, je suis donc au marché:
J'ai quand même passé quelques heures par-ci par-là à parcourir la ville et découvrir un peu ses petites rues.
Autre intérêt, le téléphérique. La Paz est de ces villes enclavées dans une cuvette pour laquelle le téléphérique a un intérêt de taille.
Le téléphérique a aussi développé l'essort d'une autre sort d'art de rue. Le parcours des cabines est essaimé de dessins sur les toits.
Et d'en haut, la vue est imprenable...
J'adore La Paz... j'aurais aimé y passer plus de temps et les photos que tu as prise lui rende un peu hommage. Un jour j'y retournerai :D